Author: admin01

Rien de tel qu’un tour en jetski pour réveiller vos sens. À Cartagena, le décor est parfait : eau turquoise, ciel dégagé, chaleur douce… et cette impression grisante de liberté absolue. On démarre en douceur, on prend ses marques, puis on file à toute allure entre les vagues, comme si le temps s’arrêtait.

Explorer la baie autrement

En choisissant le jetski, vous évitez les circuits classiques. Vous tracez votre propre route, vous découvrez la baie depuis un angle unique, et surtout, vous vous amusez. La vieille ville, les îles voisines, les forts… tout devient plus accessible et plus vivant.

Adrénaline et sécurité combinées

On vous rassure tout de suite : même si l’activité semble intense, elle reste encadrée. Un briefing est toujours prévu, le matériel est vérifié, et les moniteurs sont à votre écoute. Pas besoin d’être expert, l’essentiel est d’avoir envie de profiter.

Pourquoi on vous recommande cette expérience

On a testé, on a adoré. Le contraste entre le calme de la mer au loin et la puissance du moteur sous nos pieds est tout simplement bluffant. Ce n’est pas juste une activité, c’est un souvenir qu’on emporte avec soi.

Un plaisir accessible

Bonne nouvelle : il n’est pas nécessaire d’avoir un permis bateau pour louer un jetski à Cartagena. Vous pouvez réserver facilement, même à la dernière minute, directement sur cette page : 👉 jetski cartagena

Quelques conseils avant de vous lancer

• Apportez lunettes et crème solaire, le soleil tape fort.

• Portez des vêtements qui sèchent vite.

• N’ayez pas peur d’accélérer, tout est sous contrôle.

Conclusion : laissez-vous tenter par l’aventure

Si vous cherchez une activité qui sort du lot, le jetski coche toutes les cases : fun, liberté, paysages à couper le souffle. À Cartagena, la mer devient votre terrain de jeu, et c’est vous qui décidez du rythme.

Chaque année, ils sont plusieurs centaines à rêver de franchir les portes de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris, plus connue sous le nom d’Arts Déco. Nichée au cœur du Quartier latin, cette institution prestigieuse, fondée en 1766, incarne l’excellence française en matière de design, d’art et de création visuelle. Pour y entrer, pas de voie royale : il faut passer par un concours d’entrée exigeant, un véritable marathon créatif qui teste la technique, la sensibilité artistique et la capacité de réflexion des candidats. En 2025, plus que jamais, l’ENSAD attend des postulants à la hauteur de sa réputation. Voici un guide complet pour bien comprendre les enjeux de ce concours et s’y préparer efficacement.

Une école d’exception

Avant de parler du concours, il est important de comprendre ce que représente l’ENSAD. L’école forme des créateurs dans dix disciplines variées : design graphique, textile, vêtement, objet, image imprimée, cinéma d’animation, photographie/vidéo, architecture intérieure, art-espace, et scénographie. Elle offre un cursus de cinq ans, aboutissant à un diplôme équivalent à un master, et bénéficie du rayonnement de l’Université PSL, dont elle fait partie intégrante. Son exigence académique, son ouverture internationale et ses nombreux partenariats avec les milieux professionnels en font un tremplin rêvé pour une carrière artistique ambitieuse.

Un concours à deux phases

Le concours Arts Déco Paris se divise en deux grandes phases : l’admissibilité et l’admission. Il ne s’agit pas simplement de montrer que l’on sait dessiner, mais bien de démontrer une démarche créative personnelle, réfléchie, et adaptée aux enjeux du monde contemporain. La sélection est rude, mais les critères sont clairs : originalité, engagement, capacité de conceptualisation et maîtrise des outils plastiques.

L’admissibilité : un premier filtre impitoyable

La première étape consiste à soumettre un dossier artistique et une création à domicile. Ces éléments sont à préparer à l’issue de l’inscription via la plateforme Parcoursup. Le dossier artistique  souvent un portfolio  doit être le reflet fidèle de votre univers visuel : dessins, croquis, photos de maquettes ou d’installations, vidéos, tout est permis, à condition de rester cohérent. Ce n’est pas tant la quantité que la qualité du regard qui compte.

La création à domicile, quant à elle, repose sur un sujet imposé, dévoilé courant avril. Les candidats ont alors quelques jours pour proposer une réponse plastique, libre dans sa forme mais rigoureuse dans sa réflexion. Cette épreuve à distance permet d’observer comment chaque aspirant créatif s’approprie une contrainte pour en faire un projet singulier.

Ces deux pièces sont évaluées de manière anonyme par un jury composé de professionnels, enseignants et artistes. Peu importe votre parcours antérieur, ce qui est scruté ici, c’est votre potentiel créatif brut.

L’admission : une journée décisive

Les candidats retenus à l’issue de la première phase sont ensuite convoqués pour passer les épreuves d’admission à Paris. Il s’agit d’un moment intense : en une seule journée, tout peut se jouer.

Le matin, vous devrez réaliser une production artistique sur table, à partir d’un nouveau sujet. Le format peut varier, mais l’objectif reste le même : produire une œuvre en temps limité, accompagnée d’une courte lettre d’intention. Cette création doit montrer votre capacité à réagir rapidement, à synthétiser une idée, et à mobiliser vos compétences plastiques sous pression.

L’après-midi est consacré à un entretien oral avec le jury. Là, vous présentez votre travail du matin, mais aussi votre création à domicile, votre dossier artistique et, si vous le souhaitez, d’autres productions personnelles. Ce moment est capital. Il s’agit de convaincre non seulement par votre production mais aussi par votre discours, votre posture et votre engagement. Le jury attend de vous que vous sachiez parler de votre art, expliquer vos choix, et montrer que vous avez une véritable envie d’intégrer cette école.

Se préparer : un long travail d’introspection

Il est illusoire de penser qu’on peut préparer ce concours en quelques semaines. Réussir l’ENSAD demande du temps, de la méthode, et une profonde connaissance de soi. Il ne suffit pas d’avoir une bonne technique, encore faut-il savoir pourquoi on crée.

Voici quelques conseils pratiques pour se mettre sur la bonne voie :

Constituez un portfolio varié mais cohérent : explorez plusieurs médiums (dessin, photo, vidéo, collage, etc.) mais gardez un fil conducteur. Ce fil, c’est vous.

Alimentez vos carnets de croquis : le jury aime voir des traces de votre pensée en mouvement, des recherches, des tentatives.

Préparez-vous à parler de vous : l’oral ne s’improvise pas. Réfléchissez à ce que vous voulez apporter au monde artistique. Pourquoi vouloir entrer aux Arts Déco ? Quel est votre projet à long terme ?

Soyez curieux : allez voir des expositions, lisez, regardez des films, informez-vous sur les anciens étudiants de l’école, suivez l’actualité artistique. Cela nourrira votre discours et enrichira vos références.

Le jour J : rester soi-même

Le jour du concours, le stress est naturel. Mais ce que le jury recherche, ce n’est pas la perfection, c’est l’authenticité. Ne cherchez pas à produire ce que vous pensez qu’ils attendent : faites ce qui vous ressemble. Assumez vos partis-pris, même s’ils sont audacieux. L’ENSAD ne forme pas des techniciens, mais des créateurs capables de penser autrement.

Pendant l’entretien, écoutez les questions, ne récitez pas un discours appris par cœur. Montrez que vous êtes capable de recul, d’autocritique, et surtout, que vous êtes prêt à apprendre, à vous remettre en question. C’est cette attitude de travail qui fait la différence.

Après le concours : et si vous n’êtes pas pris ?

Chaque année, de nombreux candidats échouent. C’est une réalité. Mais un échec n’est pas une fin en soi. Beaucoup d’élèves intègrent l’école après une ou deux tentatives. Profitez de cette expérience pour progresser, enrichir votre dossier, affiner votre démarche.

Il existe par ailleurs d’autres écoles d’art, en France comme à l’étranger, qui proposent des formations d’excellence. Ce qui compte avant tout, ce n’est pas tant l’école que votre capacité à vous épanouir dans une pratique créative vivante et sincère.

Une aventure avant tout humaine

Passer le concours des Arts Déco Paris, c’est bien plus que viser une place dans une grande école : c’est entamer un processus de maturation artistique, interroger sa sensibilité, apprendre à défendre ses idées, à douter aussi. C’est un rite de passage, souvent exigeant, parfois décourageant, mais profondément formateur.

Si vous avez en vous cette soif de création, cette envie de construire un monde à travers la forme et la matière, alors foncez. Préparez-vous avec passion, avec rigueur, et surtout avec sincérité. Car c’est cela que l’ENSAD cherche : des artistes en devenir, capables de penser, de rêver, et de créer autrement.

Quand on voyage à Cartagena, on se laisse vite happer par l’énergie des ruelles colorées, les rythmes caribéens, les odeurs de fruits tropicaux… Mais il y a une autre aventure, plus apaisante, tout aussi inoubliable, que nous avons vécue : une journée complète en mer, au cœur des îles environnantes.

Nous avions besoin de ralentir, de respirer, de nous reconnecter à la nature. C’est exactement ce que cette sortie nous a offert.

Une sortie en mer accessible à tous

Ce qui nous a séduits en premier, c’est la simplicité. Pas besoin d’avoir le pied marin ou un budget conséquent pour vivre ce moment. La formule est tout compris : bateau, guide, repas, pauses baignade, snorkeling… tout est prévu pour que l’on profite sans contrainte.

Nous avons réservé notre excursion sur ce lien : Iles de Cartagena, et l’organisation a été irréprochable. Le rendez-vous était clair, le trajet fluide, et l’accueil chaleureux.

Des paysages à couper le souffle

Des eaux turquoise à perte de vue

Une fois à bord, tout change. On quitte la côte, et rapidement, l’horizon s’élargit. Le bleu profond de la mer laisse place à des nuances plus claires, presque transparentes. C’est ici que commence la magie.

On longe des îles minuscules, parfois habitées, parfois désertes. Des palmiers se balancent doucement dans le vent, des barques colorées flottent tranquillement, et l’on sent que le temps s’étire.

Des plages secrètes et authentiques

Au fil des escales, on découvre des criques où poser sa serviette, des plages de sable blanc, des endroits où l’on se sent seuls au monde. Ces pauses permettent de se baigner, de bronzer, ou simplement de contempler le paysage, sans pression.

Un moment parfait pour se ressourcer

Au-delà du décor, c’est l’ambiance qui marque. Le rythme est lent, agréable. Le guide connaît bien la région, partage des anecdotes, mais laisse aussi des temps de silence. On se sent respectés, écoutés, libres.

Pendant le déjeuner, tout est simple mais délicieux : riz coco, poisson grillé, patacones, limonade… le tout les pieds dans le sable, avec une vue imprenable sur la mer.

Des activités pour tous les goûts

Observer la vie sous-marine

Le masque sur le visage, on plonge dans une eau claire où les poissons multicolores défilent. Même ceux qui n’avaient jamais fait de snorkeling se sont laissés tenter. C’est facile, ludique, et vraiment fascinant.

Prendre le temps

Pour ceux qui préfèrent se reposer, c’est tout aussi agréable. Il y a toujours un coin d’ombre, une chaise longue, ou une simple serviette à étaler. Certains lisent, d’autres dorment, et nous, on s’est simplement laissé bercer par le bruit des vagues.

Notre avis : une excursion immanquable

Ce type de sortie est idéal pour casser le rythme, vivre une parenthèse, et repartir avec une énergie nouvelle. Le lien que nous avons utilisé pour réserver cette expérience, propose un excellent rapport qualité-prix, avec une logistique très fluide.

Nous vous conseillons de réserver la veille ou quelques jours avant, surtout en haute saison. N’oubliez pas vos essentiels : crème solaire, maillot de bain, lunettes, appareil photo, et un petit sac étanche.

Ce que nous avons retenu, c’est la simplicité du bonheur. Parfois, il suffit de quelques heures en mer, d’un bon repas, d’un ciel bleu et de sourires partagés pour créer un souvenir qui reste.